Mon histoire

Je suis arrivée en Provence par le cœur.
Mes grands-parents ont emménagé dans le Vaucluse lorsque j’avais quatre ans.
Je suis ensuite venue en vacances tous les ans et, au fil des années, je me suis fait une promesse : un jour, moi aussi je vivrai ici.

En 2013, quand j’ai perdu ma grand-mère, j’ai compris que certaines choses ne reviendraient plus comme avant :
les odeurs de thym dans les collines,
l’accent chantant des voisins,
les lézards cachés derrière les volets.
Cette douceur-là avait marqué mon enfance.

L’année suivante, j’ai tout quitté pour m’installer dans cette région de cœur.
J’ai d’abord emménagé près d’Avignon, le temps de passer mon permis et de trouver mon rythme.

Puis j’ai découvert les Dentelles.
Un vrai coup de foudre.
Elles se sont ancrées en moi et sont devenues mon repère.
Tellement que j’ai fini par choisir une maison d’où je peux les voir.
Et aujourd’hui, je rêve d’avoir un jour parcouru chacun de leurs chemins.

Depuis l’enfance, j’ai trouvé à travers les promenades familiales puis par les randonnées en Provence une source de bien-être, de calme et même de force.
La nature a toujours eu ce pouvoir sur moi : elle apaise, elle recentre, elle régénère.

Maintenant maman d’une petite fille curieuse, nous prenons plaisir à redécouvrir ensemble chaque détail, chaque lumière et nommer ensemble ce que nous identifions.

Pourquoi Les Promenades de Fleur ?

Après plusieurs années dans l’œnotourisme et le tourisme, l’idée est venue naturellement :
Créer Les Promenades de Fleur, pour partager ce que la Provence m’a offert.
Ses paysages, ses sentiers, ses petites merveilles parfois invisibles,
mais aussi ses producteurs, ses artisans, ceux qui façonnent ce territoire avec patience et passion.

C’est pourquoi j’aime proposer des balades où l’on prend le temps, mais aussi — de plus en plus — des rencontres avec ceux qui vivent ici, cultivent, transforment, créent.

Ma vision

Aujourd’hui, avec Les Promenades de Fleur, j’invite simplement les gens à vivre des moments où l’on ralentit,
où l’on observe,
où l’on respire pleinement,
et où l’on se reconnecte à ce qui fait le charme profond de cette région.

Une manière, peut-être, de prolonger cette promesse d’enfance :
celle de revenir, d’habiter ici, et de partager ce que j’y ai trouvé.